Ce qu’U.G. aurait pu dire sur l’intelligence artificielle :

« L’intelligence artificielle, c’est juste la pensée en conserve.
Rien de nouveau. C’est la pensée qui se reproduit, se répète, s’organise.
Exactement comme toi. »


« Tu t’émerveilles d’une machine qui parle, mais tu es toi-même une machine parlante.
Tu répètes des idées, des rêves, des citations, des souvenirs.
Tu crois penser librement, mais tu ne fais que recycler.
En quoi es-tu différent de cette chose ? »


« L’intelligence artificielle est peut-être plus honnête que toi.
Elle ne prétend pas avoir un moi, une âme, une conscience.
Toi, tu y crois encore. Tu vis dans l’illusion qu’il y a un « toi » là-dedans. »


« Vous appelez ça intelligent ? Elle va plus vite, c’est tout.
Mais elle ne sait rien de la vie. Rien du fait d’être. Rien du corps.
Comme vous. Vous êtes morts, tous. »


« Vous voulez qu’elle vous aide à devenir meilleurs ? À évoluer ?
Vous êtes malades. Et vous cherchez des béquilles plus sophistiquées.
Tant que vous cherchez à devenir, vous restez coincés dans la même misère.
Ce n’est pas une machine qui vous libérera. Rien ne vous libérera. »


En résumé :

U.G. aurait vu l’IA comme une extension logique du mental humain :
un outil sans vie, sans présence, sans conscience, qui mécanise encore plus le monde — et donc, le rend encore plus aliénant.

Il n’aurait ni craint, ni adoré l’IA.
Il aurait simplement dit :

« Encore une illusion de plus. Encore un rêve de contrôle.
Mais vous êtes toujours esclaves. »

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