U.G., qu’est-ce qui meurt quand quelqu’un meurt ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

Rien. Rien ne meurt.
Parce qu’il n’y avait personne pour commencer.

Ce que tu appelles « quelqu’un » est une construction de souvenirs, de gestes appris, de mots accumulés.
Un nom, une histoire, une voix, des habitudes — voilà ce qui disparaît.
Pas une entité réelle. Pas une « âme ». Juste un fichier qui se ferme.

Le corps se dégrade, oui. Mais ce que tu pleures, ce n’est pas le corps.
Tu pleures ton attachement à l’image que tu avais de l’autre.
Tu pleures le trou que ça laisse dans ton monde.
Tu ne pleures pas la mort — tu pleures ta perte.

Tu crois qu’il y avait quelqu’un là-dedans. Un vrai « moi ».
Mais ce « moi », c’était un faisceau de réflexes, de conditionnements, de réactions.
Il n’était pas plus réel qu’un personnage de théâtre qui quitte la scène.

Tu veux croire qu’il y avait quelque chose de « profond » qui part ailleurs.
Mais c’est encore une histoire. Un conte pour calmer la peur.

Ce qui meurt, c’est le mythe de quelqu’un.
Ce qui reste, c’est ce qui a toujours été là :
Le silence. L’absence de besoin de nommer. Le réel brut.

Tout le reste — la personne, l’âme, la mémoire —
n’est qu’un écho dans le mental de ceux qui restent.

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