(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

Ni fin. Ni commencement.
C’est la chute du théâtre. La scène brûle. Les projecteurs s’éteignent. Il ne reste plus rien à jouer.
Pas de rideau final. Pas d’applaudissements. Pas de coulisses où aller pleurer.
Tu crois que c’est une fin, parce que tout ce que tu connais s’écroule : tes espoirs, tes certitudes, ta quête, ton idée même d’un “toi” qui allait quelque part.
Tu crois que c’est un commencement, parce que quelque part, tu veux encore te raccrocher à quelque chose : « Je vais renaître », « je vais me reconstruire », « je vais enfin être vrai ».
Mais ce sont encore des pensées. Des tentatives désespérées pour ne pas sombrer totalement.
L’effondrement intérieur, c’est la fin de l’idée qu’il devait y avoir quelque chose.
C’est la fin de la recherche.
C’est la fin de toi en tant que projet à accomplir.
Et dans cette absence,
dans cette brûlure qui ne promet rien, quelque chose vit — sans pourquoi.
Pas spirituel. Pas sacré. Pas lumineux.
Juste là. Sans nom. Sans maître. Sans forme.
Tu peux appeler ça un début, si ça t’aide à respirer.
Mais en vérité… il n’y a rien qui commence. Parce qu’il n’y a plus personne pour espérer.