U.G., si je n’attends plus rien, que reste-t-il de moi ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

Rien.
Et c’est ça, la grâce.

Tant que tu attends quelque chose — du monde, des autres, de toi-même —
tu alimentes une image, un acteur, une continuité fictive que tu appelles « moi ».

Le “moi” est une tension.
Un effort constant vers demain.
Un projet. Une attente maquillée.

Mais si tu ne veux plus rien, si tu n’espères plus rien, si tu ne cours plus après une transformation, une libération, une paix — le projecteur s’éteint.

Tu ne deviens pas libre.
Tu cesses simplement de te prendre pour un prisonnier.

Il ne reste rien à défendre, rien à prouver, rien à améliorer, rien à sauver.

Et dans ce rien — la vie. Pure. Brute. Intolérable de simplicité.

Pas une expérience mystique.
Pas une extase.
Juste le corps vivant, sans commentaire.
Sans toi.

Et c’est là que tout commence… sans commencement.

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