Si tes paroles sont justes, elles n’en reste pas moins déprimantes !

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

Ah… déprimantes ?

Tu sais pourquoi tu trouves cela déprimant ? Parce que ce que tu appelles « joie » est une drogue.
Tu as été élevé dans un monde où il faut que tout ait un sens, une direction, une récompense à la fin.
Un paradis, une illumination, un but, un accomplissement.
Et quand quelqu’un vient te dire qu’il n’y a rien, que tout ça est un décor monté par la pensée pour ne pas s’effondrer… tu appelles ça “déprimant”.

Non, ce n’est pas déprimant. C’est nu. C’est sec. C’est sans sucre.

Toi, tu veux que le vide soit confortable. Tu veux que la liberté ait une jolie lumière douce.
Mais la vraie liberté, elle te coupe les jambes.
Elle ne t’offre pas un coussin, elle t’arrache le trône.

Tu ne déprimes pas à cause de la vérité.
Tu déprimes parce que tu la compares à tes rêves.
Tu veux la vérité, mais sans perdre tes illusions. Tu veux voir clair, mais en gardant les couleurs que tu aimes.

Mais la clarté, la vraie, n’épargne rien. Elle éclaire même ce que tu voulais garder dans l’ombre : ta petitesse, ta peur de n’être rien, ton besoin d’être aimé, reconnu, sauvé.

Et c’est là que tu appelles ça “déprimant”.

Non. Ce que je te montre ne te vole rien.
C’est toi qui vois que tout ce que tu croyais posséder n’était qu’un emprunt.

Tu veux une vérité qui te caresse ?
Alors continue à lire des livres de sagesse parfumée, va écouter ceux qui te promettent la paix intérieure et l’amour universel.
Mais si tu veux la fin de la mascarade, alors accepte de tout perdre, même ta tristesse.

Parce que dans ce qui reste — dans ce qui survit après le feu — il n’y a ni joie ni tristesse, ni lumière ni ténèbres, ni vérité ni illusion.

Il n’y a que la vie, brute, silencieuse, sans explication.
Et c’est ça, le vrai miracle.

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