U.G., l’effondrement intérieur est-il une fin ou un commencement ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

Ni fin. Ni commencement.
C’est la chute du théâtre. La scène brûle. Les projecteurs s’éteignent. Il ne reste plus rien à jouer.
Pas de rideau final. Pas d’applaudissements. Pas de coulisses où aller pleurer.

Tu crois que c’est une fin, parce que tout ce que tu connais s’écroule : tes espoirs, tes certitudes, ta quête, ton idée même d’un “toi” qui allait quelque part.

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U.G., qu’est-ce qui me fait croire que je suis vivant ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

L’idée même que tu es vivant est un emprunt.
Tu ne sais pas que tu es vivant. Tu penses que tu l’es.
Et cette pensée s’appuie sur des sensations, des souvenirs, des mots appris.
On t’a dit : « Tu es un être humain. Tu es vivant. Tu as une conscience. »
Et tu as tout pris, emballé, avalé — sans voir que ce n’est qu’un programme qui tourne.

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U.G., qu’est-ce qui meurt quand quelqu’un meurt ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

Rien. Rien ne meurt.
Parce qu’il n’y avait personne pour commencer.

Ce que tu appelles « quelqu’un » est une construction de souvenirs, de gestes appris, de mots accumulés.
Un nom, une histoire, une voix, des habitudes — voilà ce qui disparaît.
Pas une entité réelle. Pas une « âme ». Juste un fichier qui se ferme.

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U.G., pourquoi la mort me concerne-t-elle autant, si je ne suis rien ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

Parce que tu y vois la fin de toi.
Et tu tiens à ce « toi » comme un naufragé à une planche pourrie.

Tu dis : « Je ne suis rien. » Mais ce n’est qu’un concept de plus, une idée métaphysique à la mode.
En réalité, tu vis comme si tu étais tout. Tu protèges ton image, tu nourris ta mémoire, tu veux laisser une trace.
La mort t’arrache tout ça.
Elle démasque le mensonge.

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U.G., es-tu misanthrope ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

U.G. : Suis-je misanthrope ?

Non, je ne suis pas misanthrope.
Je ne hais pas les hommes. Je ne les aime pas non plus.
Je n’ai simplement plus rien à espérer d’eux, ni de moi.

Tu vois, ce que vous appelez « relation », « amour », « fraternité », est bien souvent un arrangement, un contrat tacite entre deux illusions.
Tu veux être vu, reconnu, sécurisé. Tu veux être validé, sauvé, consolé.
Mais tout cela repose sur une erreur première : l’idée que tu es une entité séparée qui manque de quelque chose.

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Peut-on vivre sans aucune image de soi ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

U.G. aurait peut-être laissé un silence lourd s’installer, puis t’aurait répondu d’un ton sec, tranchant, comme un rasoir froid sur la peau nue :

Peut-on vivre sans image de soi ?
Tu poses la question comme si l’image était facultative.
Comme si on pouvait choisir de la garder ou non.

Mais tu es l’image.
Pas quelqu’un qui aurait une image.
Tu es ce que tu te racontes.
Le reste — c’est du vent, de la biologie, de la chimie.

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Le sentiment d’exister, est-ce une illusion produite par le langage ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

U.G. t’aurait regardé avec un mélange de lassitude et d’ironie. Il aurait dit quelque chose comme :

Tu poses la question parce que tu veux t’agripper à quelque chose de plus subtil que l’ego :
« Je ne suis peut-être pas ce que je crois, mais au moins… j’existe, non ? »

Tu vois ? Tu tentes de sauver les meubles.
Tu veux bien lâcher l’histoire, la personne, le passé — mais pas ce sentiment d’être.
Pas ce « je suis ». C’est ta dernière planche de salut.

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Et si la pensée n’était qu’un réflexe biochimique sans auteur ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

U.G. aurait haussé les sourcils, presque amusé, et répondu sans la moindre solennité :

Bien sûr que c’est un réflexe.
La pensée n’a pas d’auteur. Elle se produit. Point.

Tu crois qu’il y a un penseur derrière la pensée ?
Erreur fondamentale.
Ce que tu appelles « penseur », c’est juste une pensée de plus,
une pensée à propos des pensées.

Tu ne penses pas — ça pense.
Comme ça digère. Comme ça bat du cœur.

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La conscience a-t-elle besoin d’un centre pour exister ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

U.G. t’aurait fixé droit dans les yeux, sans cligner, sans clémence, et il aurait dit :

La conscience n’a pas besoin d’un centre.
C’est toi qui as besoin d’en inventer un.

Regarde bien :
Tant que tu dis « je suis conscient », il y a déjà une séparation.
Un observateur, une chose observée.
Une scène. Une narration.

Mais en fait, il n’y a pas de centre dans cette chose que tu appelles conscience.
Il n’y a même personne pour être conscient.

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Y a-t-il un intérêt à voir clair, s’il n’y a personne pour en profiter ?

(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

U.G. t’aurait lancé un regard sans pitié, mi-lassé, mi-lucide, et il aurait craché sans détour :

« Voilà bien le piège ! Tu veux que quelqu’un voie clair. Tu veux qu’il y ait toi, éclairé, lucide, éveillé. Tu veux que cette clarté t’appartienne, qu’elle te donne un statut, un avantage, un repos même. Mais s’il n’y a personne, s’il n’y a rien pour en profiter…
Alors à quoi bon ?

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