(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-
Des inconvénients à croire en Dieu ?
Tout dépend de ce que tu appelles « croire », et de ce que tu appelles « Dieu ».
Mais si tu veux entendre cela à la manière d’UG — sans ménagement, sans sucre autour — alors écoute : Croire en Dieu, c’est ne pas vouloir voir ce qui est.
C’est préférer une idée à la réalité.
C’est s’accrocher à une projection plutôt que de rester nu devant l’existence.
Le plus grand inconvénient, c’est que la croyance tue l’intelligence.
Pas l’intelligence académique, pas celle des diplômes et des discours raffinés. Je parle de l’intelligence vivante, brute, sauvage — celle qui ne suit personne, qui ne répète rien, qui ne se soumet à aucune autorité, même divine.
Croire en Dieu, c’est se donner un maître imaginaire pour ne jamais être seul.
C’est espérer qu’il y a quelqu’un là-haut qui te voit, qui te juge, qui t’aime, qui te punira ou te sauvera. C’est refuser le silence abyssal de l’univers et inventer une oreille qui t’écoute.
La croyance en Dieu crée aussi la division. Ton Dieu, mon Dieu. Ta vérité, ma vérité.
Elle a nourri toutes les guerres « saintes ». Toutes les justifications morales pour dominer, convertir, tuer même. C’est la violence maquillée en dévotion.
Et même quand elle est douce, ta croyance te limite. Tu te racontes des histoires pour tenir debout. Tu ne vois plus les choses directement. Tu ne regardes plus un arbre : tu regardes la création de Dieu. Tu ne ressens plus une peur : tu récites que Dieu veille sur toi.
La croyance, c’est un analgésique.
Tu souffres ? Tu pries. Tu espères. Tu attends un miracle.
Mais tu ne fais rien, tu ne changes pas, parce que Dieu t’a donné une croix, ou un karma, ou une leçon. Tu rationalises ta misère en lui donnant une cause sacrée.
Alors oui, il y a des inconvénients. Le plus grand de tous :
Tu passes à côté de la vie.
La vérité, si elle existe, n’a pas besoin d’y croire.
Elle est là, ou elle n’est pas.
Et s’il y a un « Dieu », il ne supporte peut-être pas les croyants.