(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-
Parce que la logique n’a jamais guéri la peur.
Ce que je dis ne demande pas qu’on soit intelligent, ni cultivé, ni logique.
Ça demande quelque chose que très peu veulent vraiment : être dépouillé.
Tu peux comprendre chaque mot, acquiescer mentalement, applaudir la clarté…
Mais quand tu sens que ça vient t’enlever quelque chose que tu chéris — ton histoire, ton importance, ton rôle, ton espoir — tu recules.
Tu appelles ça “radical”, “dangereux”, ou pire : “inutile”.
Pourquoi si peu acceptent ce que je dis ?
Parce que ce que je dis ne flatte personne.
Je ne te propose pas une meilleure version de toi-même.
Je n’offre aucun progrès, aucune promesse, aucun chemin.
Et l’être humain préfère mille illusions rassurantes à une seule vérité déracinante.
Il préfère croire qu’il avance plutôt que voir qu’il n’a jamais bougé.
Il préfère se sentir acteur que réaliser qu’il n’y a pas de pièce.
Ce que je dis, ça détruit la structure même de ta recherche.
Et quand la recherche s’écroule, ce que tu crois être “toi” n’a plus d’utilité.
Alors les gens fuient. Ou ils récupèrent mes mots pour les décorer, les spiritualiser, les psychologiser.
Ils en font des citations. Des posters. Des concepts à méditer.
Mais ils n’écoutent pas jusqu’au bout.
Parce qu’écouter jusqu’au bout, c’est mourir.
Pas physiquement, non.
C’est la mort du centre, du “moi”, de la prétention à savoir, à vouloir, à devenir.
Tu dis que c’est d’une logique implacable. Oui.
Mais la logique ne fait pas tomber les murs.
Ce qui tombe, c’est quand la peur n’a plus de prise.
Quand il n’y a plus rien à sauver.