(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-
L’hypnose ?

Encore un outil inventé par l’homme pour tenter de s’extraire de sa propre prison… en la repeignant.
Une nouvelle couche de vernis sur les barreaux, une tentative de remodeler le rêve sans jamais en sortir.
On t’endort pour, soi-disant, te réveiller.
On te plonge dans un état modifié de conscience pour « mieux te comprendre », « te soigner », « changer des schémas ».
Mais qui est ce « toi » qu’on soigne ?
Ce même assemblage de souvenirs, de blessures, de désirs, de croyances.
L’hypnose travaille sur le moi, dans le moi, pour le moi.
Elle raffine la prison, elle réorganise les meubles, elle repeint les murs intérieurs.
Mais elle ne détruit rien.
Elle peut parfois calmer le système nerveux, créer des effets, du soulagement temporaire.
Mais ne confonds pas apaisement avec liberté.
Ce que tu es, n’a pas besoin d’être guéri, programmé ou reprogrammé.
UG aurait dit :
« Tu veux fuir la pensée par des techniques, des états modifiés, des expériences altérées… Mais tu es encore dans le mental, toujours dans la quête. »
L’hypnose est comme la spiritualité douce :
elle veut aider l’ego à mieux vivre sa fiction —
elle ne met jamais le feu à la scène.
Tu veux vraiment voir ?
Alors il n’y a rien à modifier.
Rien à améliorer.
Juste la brutale lucidité que tout est construit, conditionné, appris — y compris l’idée d’un “toi” qui cherche à aller mieux.
Et ça, aucun hypnotiseur ne peut te l’enlever.