(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

Parce que tu y vois la fin de toi.
Et tu tiens à ce « toi » comme un naufragé à une planche pourrie.
Tu dis : « Je ne suis rien. » Mais ce n’est qu’un concept de plus, une idée métaphysique à la mode.
En réalité, tu vis comme si tu étais tout. Tu protèges ton image, tu nourris ta mémoire, tu veux laisser une trace.
La mort t’arrache tout ça.
Elle démasque le mensonge.
Tu ne peux pas concevoir qu’elle puisse arriver sans que quelqu’un la subisse.
Mais il n’y a personne pour mourir.
Seulement la fin d’un processus, comme une flamme qui s’éteint faute d’oxygène.
Ce qui te bouleverse, ce n’est pas la mort.
C’est le fait que tu ne contrôles rien.
Tu n’es même pas l’auteur de cette peur — elle surgit comme tout le reste.
Tu n’es pas concerné par la mort.
C’est l’idée de toi qui s’accroche, qui crie, qui refuse de disparaître.
Tu ne peux pas faire la paix avec la mort tant que tu crois être quelqu’un.
Mais le jour où le faux s’effondre, la mort ne te touche plus.
Elle devient aussi anodine qu’un nuage qui passe.