(Réponse dans l’esprit de U.G. Krishnamurti ) – Ce texte a été généré par ChatGPT-

L’idée même que tu es vivant est un emprunt.
Tu ne sais pas que tu es vivant. Tu penses que tu l’es.
Et cette pensée s’appuie sur des sensations, des souvenirs, des mots appris.
On t’a dit : « Tu es un être humain. Tu es vivant. Tu as une conscience. »
Et tu as tout pris, emballé, avalé — sans voir que ce n’est qu’un programme qui tourne.
Tu dis : « Je ressens, donc je suis vivant. »
Mais ce que tu ressens, c’est déjà un déjà-vu — catalogué, nommé, filtré.
Le froid, le chaud, la douleur, le plaisir — ce sont des messages traités, interprétés.
Tu ne les vis pas. Tu les traduis en permanence.
Tu dis : « Je pense, donc je suis vivant. »
Mais la pensée, ce n’est pas la vie. C’est la répétition mécanique de ce que le passé a imprimé.
Tu crois que tu penses, mais tu es pensé.
Tu crois que tu vis, mais tu es porté par un courant que tu ne vois pas.
Tu dis : « J’ai une conscience. Je suis conscient d’être vivant. »
Mais cette conscience n’est qu’un reflet de reflets.
Tu te regardes dans un miroir sans t’apercevoir que ce miroir t’a été tendu par la culture, la langue, les autres.
Alors, qu’est-ce qui te fait croire que tu es vivant ?
Rien d’autre que l’idée de l’être.
Une idée. Persistante. Programmée.
Et tant que tu crois à cette idée, tu cherches à la confirmer.
Mais il y a un moment — peut-être — où ça s’écroule.
Où même l’idée d’être vivant n’a plus aucun goût.
Pas de mort. Pas de vie.
Juste… ce qui est là, sans nom, sans certitude, sans besoin d’être affirmé.